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Skrela "ce sera Toulouse"


Comme le titre l'Equipe Skrela rejoint Toulouse pour 3 ans !

Le Midi Olympique l'avait annoncé il y a deux semaines c'est désormais officiel l'Equipe et la Depêche du Midi ont affirmé que l'ouvreur international rejoindra le Stade la saison prochaine.Arrivé au Stade Francais en 2003,l'ex joueur de Colomier revient donc dans la région toulousaine mais désormais pour le grand club de Toulouse le Stade Toulousain !

L'interview de l'Equipe:

Depuis plusieurs mois, Toulouse vous convoitait. Paris souhaitait vous garder, qu’avez-vous décidé ?
– Je pars. Ce sera Toulouse, et cette décision, que j’ai prise il y a une quinzaine de jours, n’était pas un choix évident, mais les deux clubs attendaient une réponse. Je vais signer un contrat de trois ans, ce qui m’amènera à la fin de ma carrière.

Qu’est-ce qui vous a poussé à répondre favorablement à l’offre toulousaine ?
– Avant tout, c’est un choix sportif. Toulouse est un clubmajeur de notre Championnat avec des objectifs sportifs régulièrement élevés, je n’y perdrai pas. Ensuite, l’insistance des dirigeants toulousains pour m’engager m’incite à penser que le club me désire vraiment beaucoup. En fin de saison dernière, j’ai eu des contacts déjà. Mais il me restait un an de contrat, je n’ai pas donné suite. Puis, à l’automne, après la Coupe du monde, quand il a été acquis que Juan Hernandez restait à Paris, il y a eu une nouvelle offre pour partir tout de suite. Mais j’ai dit non encore. De plus, Céline, ma compagne, était enceinte, c’était compliqué. Et, avant Noël, ils sont revenus à la charge pour la saison prochaine. Toulouse n’a jamais lâché l’affaire. Mais surtout, il y a aussi un critère plus personnel. Ma famille et ma belle-famille sont à Toulouse et, quoi qu’il arrive, je serai rentré dans ma région natale en fin de carrière. Je suis maintenant père de deux enfants, j’ai fait le point et je me suis dit que le mieux, c’était de repartir maintenant.

Vous parliez de critères sportifs. Mais à Paris aussi vous aviez cette assurance d’être confronté à la culture des victoires…
– C’est évident. Je suis arrivé au Stade Français en juillet 2003 et, en quatre saisons, j’ai disputé quatre finales, Championnat et Coupe d’Europe confondus, et remporté deux titres de champion. À Paris, j’ai connu des sensations fortes au plan sportif et je vais continuer à mouiller le maillot d’ici à la fin de la saison pour partir sur un nouveau titre de champion. Et si je n’étais pas parti à Toulouse, je serai resté ici, sans même réfléchir ni chercher à aller voir ailleurs. J’ai eu d’autres propositions. Mais l’Angleterre, un autre club français, ce n’était pas pourmoi.

Votre choix a-t-il été délicat à faire sur un plan humain ?

– Ç’a été le plus dur. Avant de dire ma décision de vive voix à Max, j’ai appelé, « Momo », (Mathieu Blin, le capitaine), « Steph » (Stéphane Glas). Ç’a été... (il soupire longuement). Et avec Max…, je vis ma cinquième saison ici et je n’oublierai rien ni personne du Stade Français. Surtout pas les hommes. Je me suis fait beaucoup d’amis, de relations. Mais voilà, la vie est ainsi faite que nos chemins doivent se séparer. Et si c’est si dur, c’est parce que l’aventure humaine aura été formidable et intense à Paris. Cette histoire d’hommes, c’est le rugby comme je le vois, je marche àça.Ona besoin de gens attachants.

Quand on est pro, on ne peut occulter l’aspect financier. Partir à Toulouse, est-ce aussi réaliser une belle opération financière ?
– Oui. Je ne cache pas que l’augmentation salariale est conséquente. Mais je suis à l’aise pour dire que ça n’a pas été essentiel dans la mesure où le Stade Français s’est aligné sur l’offre de Toulouse. Je n’ai pas d’agent, je traite tout seul. On n’a même pas négocié. Ça m’a surpris et flatté parce que je sais que ce n’est pas à Paris que l’on trouve les plus gros salaires du rugby français. Et le fait que le Stade Français consente à faire untel effort, ça m’a fait réfléchir encore plus longtemps…

La perspective d’une reconversion professionnelle facilitéepar Toulouse a-t-elle pesé ?
– Non, car Paris aussi me proposait de me mettre le pied à l’étrier dans le monde de l’entreprise. À vrai dire, je ne sais pas encore ce que je vais faire en fin de carrière. J’ai un diplôme d’ingénieur civil, mais il est possible que je reprenne des études pour compléter cette formation.

Votre père a été international sous le maillot du Stade Toulousain, il en a été l’entraîneur. Était-ce un rêve d’enfant pour vousqui avez été élevé au biberon toulousain …

– Un rêve non, mais c’est sûr que j’ai été élevé là-bas. J’ai beaucoup de souvenirs de dimanches après-midi passés aux Sept-Deniers. Je connais tous les recoins de ce stade. Gamin, mon père entraînait l’équipe et mes stars, c’étaient Bonneval, Charvet, Codorniou… En fait, j’ai été élevé rugbystiquement à Colomiers où je suis resté de sept à vingt-quatre ans. Mais, tout jeune, Toulouse a toujours été un fil rouge. Le samedi, je jouais contre Toulouse et, le dimanche, j’étais pour Toulouse. Là bas, je ne serai pas perdu.

Le week-end prochain, le Stade Français accueille Toulouse au Stade de France…
– Ça va être particulier pour moi. Déjà, je ne sais pas si je jouerai, c’est la décision de Fabien (Galthié).Mais, de toute manière, je vais mouiller le maillot pour Paris jusqu’au dernier jour. Et après, j’aurai le temps de passer à Toulouse. Si je parviens à jouer régulièrement, je pourrai être heureux. Dix-sept ans dans mon club formateur, cinq ans à Paris, trois à Toulouse pour finir, ça fera une belle carrière, non ? »





Elmander et Emana vont t'ils partir?

Johan Elmander et Achille Emana partirons t'il la saison prochaine ? Enquête par tfc-st

Johan Elmander on le sait devrait quitter le TFC,le président Sadran l'a quelque peu murmuré le géant suédois quittera la ville rose même si il s'y plait.

Pour plusieurs raisons,notamment que les toulousains ne joueront pas l'Europe la saison prochaine de plus le TFC n'est plus à l'abri d'etre reléguable ! Johan devrait partir pour l'Italie ou nottament la Juve et l'AS Roma le suive.

Achille Emana lui est la depuis les années nationales et on le voit mal quitter le club sur une 16 ou 17 ème place,selon nous Achille restera hormis si le club descends en Ligue 2 !

 
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